La vie est belle. Lituanie, 1941. Algis est encore un enfant quand il est déporté dans un camp sibérien. Il raconte son quotidien où l'on croise le fantôme de son jars domestique, une chorale, des Russes impitoyables, et même des soldats japonais ! Avec son regard pur comme l'azur et sa fantaisie d'enfant, Algis nous fait rire, nous surprend et nous émeut.