Dans la Sicile du début du XXe siècle, un petit garçon découvre le monde : des paysages âpres baignés de lumière, de vastes maisons à l’élégance aristocratique. L’enfance y est douce. Ces nouvelles ont présidé à l’écriture du Guépard et plongent au plus profond de la société italienne. Des récits sur le temps et sur la décadence, qui ont la poignante beauté d’une confession.
Le prince sicilien Giuseppe Tomasi Di Lampedusa (1896-1957), aristocrate de haute culture européenne, mourut juste après avoir écrit Le Guépard, son unique roman, un chef-d’œuvre adapté au cinéma par Visconti.
« Un magnifique tableau des mœurs provinciales. »
Libération
Traduit de l’italien par Louis Bonalumi
Préface de Giorgio Bassani