Une poignée de gens
"Je m'appelle Marie Belgorodsky, j'ai quarante ans, je suis française. Je dois mon nom russe à mon père, né à Petersbourg, en juin 1916. De lui et de sa famille, je ne sais presque rien". Jusqu'au jour de 1994 où parvient à Marie Belgorodsky une lettre d'un cousin éloigné, Vassili Vassiliev, soudain, par l'entremise d'un journal tenu par son grand-oncle en 1916 et 1917, fait irruption dans la vie de Marie "cette poignée de gens jetés comme tant d'autres dans la tourmente de l'histoire, ma famille".
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