Preacher's sigh & potion : Lost album
Plus de vingt ans après le début de sa carrière, le producteur, chanteur, auteur, compositeur américain reste artistiquement imprévisible dans la conception d'une pop à la forme électronique et à la production organique. Son travail traverse une myriade de mondes musicaux, mais n'appartient à aucun. Voyageant entre son Détroit adoptif et son État natal du Texas en 2008 et 2009, Matthew a amassé un ensemble d'enregistrements personnels, ludiques et centrés sur la guitare qu'il envisageait pour son prochain album. En raison de l'élan généré par la pop électronique hybride d'Asa Breed, il a décidé de mettre ce travail de côté. Cet album perdu avait un son, un rodéo country tumultueux dans la grange techno, et il avait un titre approximatif, un gribouillage sur l'un des CD-R transmis au fondateur du label Ghostly : Preacher's sigh & potion. C'était la première fois que Matthew puisait si directement dans les influences de son père, guitariste dans les années 1960 et 1970 qui l'a introduit à la musique de John Prine, Townes Van Zandt et Emmylou Harris. C'est une forme d'hommage à son père qui lui a transmis sa passion musicale et qu'il espère pouvoir transmettre à son tour à ses enfants.
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Disponible 1er étage - Espace Image & son 4DEA